Ce site montagneux remarquable, situé à l’est du massif de Chartreuse sur la commune de Saint Pierre d’ Entremont (Savoie) est connu des touristes et très fréquenté l’été. C’est avec un très beau temps que huit d’entre nous (dont deux nouveaux membres, Claire et Eddy) se sont retrouvés pour commencer à grimper vers les cascades du Guier, attractions et thème photo du jour.

La montée fût un peu rude mais le spectacle qui nous attendait valait cet effort.

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Cette sortie, initialement prévue le 2-3 août, et annulée pour cause de mauvais temps, a finalement pu avoir lieu le 23-24 août, en petit comité puisque seuls deux membres étaient de la partie.

Le samedi midi, c’est par un temps plutôt frais que nous posons la voiture au refuge des Mouterres, nous sommes encore au milieu des nuages. Après un bon repas au refuge (le gratin de ravioles au St Marcellin, y a que ça de vrai !), nous prenons le chemin du Lac noir. Une heure trente et 250 mètres de dénivelé plus loin, nous atteignons notre but et plantons la tente. Les nuages, qui nous avaient faussé compagnie en début d’après midi, reviennent rapidement se rappeler à notre souvenir. Nous avons juste le temps de faire quelques photos avant que le magnifique panorama sur la Meije et le Râteau ne disparaisse.

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C’est par un samedi de juin relativement ensoleillé que nous nous sommes retrouvés au Col de la République pour une sortie pilotée par un de nos membres. Au menu du jour : tourbière de Gimel et étangs de Prélager pour une découverte de la faune et la flore locale.

Le Pilat des hauts plateaux, à l’ouest, domine à 1000 m d’altitude le bassin stéphanois où alternent sapinières, pâturages et prairies humides. C’est dans ce secteur que subsistent les plus belles zones humides du massif !

La tourbière de Gimel est la tourbière la plus connue du Pilat, notamment parce qu’elle est particulièrement étudiée et qu’elle est aménagée pour pouvoir être visitée : un long ruban de bois posé au-dessus de la tourbière  permet d’accéder à cette zone humide fragile sans la piétiner. Là, au mois de juin, tout s’éveille : les Libellules virevoltent et les Linaigrettes agitent leurs pompons blancs dans le vent. Au milieu de la tourbière, d’étranges installations : il s’agit d’appareils de mesure destinés à mieux connaître ce milieu, son fonctionnement, son histoire et son devenir.

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